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Le guide définitif pour créer des cours virtuels dans les universités en 2025 (sans perte de temps ni de qualité)

Découvrez les étapes clés à suivre pour créer des cours d'apprentissage en ligne agiles, efficaces et actualisés.

GRIKY
25 mars 2025
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25 mars 2025

Comment se déroule le processus de création de cours virtuels dans votre université ?

Si vous deviez le décrire en un mot... Serait-ce "agile", "stratégique", "lent", "fragmenté" ou "lassant" ?

Si votre université conçoit encore des cours virtuels avec des documents interminables, des conférences enregistrées sans montage et des processus qui prennent des mois... il est temps de repenser les choses.

Et nous ne disons pas cela pour vous mettre mal à l'aise. Nous le disons parce que cette façon de créer n'est plus en phase avec les étudiants d'aujourd'hui.

Nous sommes en concurrence avec TikTok, YouTube, des plateformes interactives et des expériences qui engagent dès la première seconde.

Un cours qui ne suscite pas l'intérêt dès le départ est abandonné. C'est aussi simple que cela.

Mais ce n'est pas parce que les étudiants ne veulent pas apprendre.‍

C'est parce que de nombreuses universités croient encore que la création de cours virtuels consiste simplement à "transférer du contenu en ligne".

Et cela, en 2025, ne suffit plus.

Idéalement, le processus de création de cours devrait être agile , stratégique et continu, afin que les programmes puissent être conçus et mis à jour en temps réel, en fonction des besoins du marché.

Ajoutez à cela la puissance de l'intelligence artificielle et vous avez là une formidable opportunité d'accélérer la conception, d'améliorer la qualité et de libérer les équipes des tâches opérationnelles inutiles.

Dans cet article, nous partageons avec vous la façon dont nous procédons à partir de Griky Course Factory, en 6 étapes claires et réalisables, conçues pour les universités qui veulent s'agrandir sans sacrifier la qualité académique.

Étape 1 : Recherche et planification

Tout cours d'apprentissage en ligne de qualité commence par une bonne question : à qui s'adresse ce cours et que voulons-nous qu'ils réalisent à la fin du cours ?

Avant de penser aux plateformes, aux enregistrements ou à l'IA générative, la chose la plus importante à laquelle il faut s'arrêter est une compréhension profonde de l'apprenant et une définition claire des résultats de l'apprentissage.

Cette étape ne peut être ni sautée ni improvisée. Si elle est bien réalisée, le reste de la conception se déroule avec cohérence et dans un but précis.

Les questions clés qui devraient guider cette étape :

  • Qui sont les étudiants qui suivront ce cours ? Âge, antécédents, niveau scolaire, attentes.
  • Qu'est-ce qui les frustre lorsqu'ils apprennent en ligne ? Quels types de ressources apprécient-ils le plus ?
  • Quelles sont les compétences spécifiques qu'ils doivent développer et qui sont transférables dans le monde réel ?
  • Quelles sont les méthodologies les mieux adaptées à cet objectif ? Cas réels ? Défis pratiques ? Projets collaboratifs ? Simulations ?

L'intelligence artificielle peut être votre meilleure alliée :

  • Analyser les données antérieures de cours similaires (taux d'abandon, résultats, temps de navigation).
  • Identifier les écarts entre le contenu actuel et les tendances du secteur
  • Cartographier les profils des étudiants et les segmenter pour des itinéraires personnalisés

Mais attention : l'IA ne définit pas l'approche pédagogique. Cela reste un rôle humain, stratégique et profondément lié à la raison d'être de votre institution.

Cette première étape ne consiste pas seulement à collecter des données, mais aussi à prendre des décisions pédagogiques éclairées, pertinentes et adaptées à l'environnement éducatif et professionnel d'aujourd'hui.

Étape 2 : Création de la structure

Un cours virtuel sans structure est comme une série sans scénario : il déroute, démotive et est rapidement abandonné. L'architecture du cours doit être conçue avant la création du contenu.

Cette étape est fondamentale. Il ne s'agit pas de remplir une plate-forme avec des dossiers en vrac, mais de concevoir un parcours clair, cohérent et axé sur les résultats.

Avant de développer tout contenu, il est essentiel de planifier le déroulement complet du cours. Il s'agit notamment de

  • ‍Modulesavec une progression logique : chaque module doit avoir une séquence qui s'appuie sur le précédent. Pensez-y comme des chapitres reliés entre eux, et non comme des unités isolées.‍
  • Des leçons avec des objectifs d'apprentissage clairs : chaque leçon doit répondre à une question concrète : que doit savoir ou être capable de faire l'apprenant à la fin de cette partie?‍
  • Carte de navigation visuelle : aide l'apprenant à se situer, à comprendre ses progrès et à savoir ce qui va suivre. Cela améliore l'expérience et réduit la frustration.
  • Des moments conçus pour l'action : il ne suffit pas de consommer du contenu. Il doit y avoir des espaces intentionnels pour réfléchir, appliquer et évaluer ce qui a été appris.‍
  • Flexibilité en fonction des profils : envisagez d'inclure des itinéraires optionnels ou adaptatifs pour différents rythmes ou styles d'apprentissage (l'IA peut améliorer ce point).

Lorsque vous concevez une structure solide dès le départ, vous transformez le cours d'un "dépôt de matériel" en une expérience d'apprentissage guidée qui se connecte à l'apprenant à chaque étape.

Conseil aux responsables : un cours bien structuré n'a pas besoin d'être long, mais il doit être cohérent, clair et exploitable. En mettant l'accent sur la qualité de la structure initiale, on évite les reprises, on réduit les abandons et on améliore la rétention.

Étape 3 : Développement du contenu

Télécharger de longs textes sur une plateforme ne crée pas d'apprentissage. Le contenu doit être clair, pertinent, appliqué et conçu pour activer l'apprenant.

C'est sur ce point que la plupart des universités échouent. Pourquoi ? Parce qu'elles confondent le téléchargement de matériel avec la conception d'une expérience d'apprentissage.

Remplir le cours de PDF, de longues définitions, de cadres théoriques denses et de conférences enregistrées sans montage... n'est pas suffisant. Il s'agit d'une simple transposition de contenu et non d'une conception pédagogique.

Aujourd'hui, ce qui fonctionne vraiment dans un cours virtuel, c'est.. :

  • ‍Storytellingwith intention: il ne s'agit pas simplement de "raconter des histoires", mais d'utiliser des situations réelles ou fictives qui éveillent la curiosité, présentent des dilemmes et génèrent un lien émotionnel avec le sujet traité.‍
  • Cas réels et actuels: exemples tirés du monde réel que l'étudiant peut analyser, débattre ou résoudre. Cela permet d'ancrer le contenu dans la vie professionnelle et de lui donner du sens.‍
  • Des activités qui impliquent l'action et la réflexion: il ne suffit pas de regarder. Les élèves doivent agir : résoudre des problèmes, concevoir quelque chose, appliquer des concepts, créer des propositions, écrire de leur point de vue, etc.‍.
  • Questions ouvertes et de réflexion critique: il ne s'agit pas seulement de choisir la bonne option. Les bonnes questions vous invitent à interpréter, comparer, justifier, argumenter, relier des idées.‍
  • Microcontenu et clarté de l'écriture: Le contenu doit être bien structuré, avec des sous-titres, des puces, des exemples et un langage clair. Utiliser l'IA pour améliorer la rédaction, mais pas pour "vomir" une théorie non filtrée.‍
  • Évaluation formative continue: n'attendez pas la fin du cours. Incluez des mini-évaluations interactives pour vérifier la compréhension, recevoir un retour d'information et adapter le rythme.

N'oubliez pas qu'un contenu clair, bref et appliqué vaut mieux que 50 pages que personne ne lira.

Étape 4 : Création de ressources multimédias

Aujourd'hui, il s'agit de concevoir des ressources courtes, visuelles et intentionnelles qui accompagnent réellement l'apprentissage.

L'une des erreurs les plus courantes dans les universités est de penser que la création d'un cours virtuel consiste simplement à enregistrer un cours d'une heure et à le télécharger sur la plateforme. Ce n'est pas concevoir un contenu numérique. C'est reproduire le modèle du face-à-face dans un environnement virtuel... sans tirer parti de son véritable potentiel.

Ce qui fonctionne vraiment aujourd'hui, c'est de créer des ressources multimédias qui sont.. :

  • Courte, claire et ciblée: les étudiants apprennent mieux avec des micro-vidéos de 5 à 7 minutes, centrées sur une seule idée ou un seul concept. Pas de longs cours magistraux avec lecture de diapositives. L'attention est perdue au bout de 3 minutes.‍
  • Visuellement stimulantes et organisées: utilisez des infographies animées pour expliquer des processus complexes, des calendriers, des relations de cause à effet ou des modèles théoriques. Cela vous permet d'apprendre avec agilité et sans surcharge cognitive.‍
  • Multiformat pour différents styles d'apprentissage: tout le monde n'apprend pas de la même manière. Ajoutez des récits générés par l'IA (comme ElevenLabs) pour ceux qui préfèrent écouter, réviser en déplacement ou étudier hors ligne.
  • Interactif chaque fois que cela a un sens pédagogique : les simulations, les jeux de décision, les clics exploratoires ou les questions interactives peuvent faire la différence. Non pas en "modernisant", mais en impliquant activement l'apprenant.

Plus important encore : chaque ressource doit avoir une fonction claire dans le processus d'apprentissage. Il ne s'agit pas de remplir l'espace ou d'ajouter une technologie à la mode. Il s'agit de faciliter la compréhension, d'améliorer la rétention et d'activer l'apprenant par la conception.

Étape 5 : Examen et ajustements

Publier sans tester, c'est prendre le risque d'apprendre. Tester un cours avant de le lancer est essentiel pour en valider la clarté, la convivialité et la valeur réelle pour l'apprenant.

Nous ne recommandons pas de lancer un cours "à l'aveuglette". Avant de l'ouvrir à l'ensemble de la communauté, il est essentiel de réaliser un pilote contrôlé avec un petit groupe d'étudiants réels ou de testeurs académiques.

Que faut-il observer dans ce pilote ?

  • Comprend-on ce qui est demandé dans chaque activité ou évaluation ? Ne présumez pas que les instructions sont claires. L'ambiguïté est source de frustration.‍
  • La navigation est-elle intuitive, est-il facile de passer d'un module à l'autre, l'apprenant sait-il où il se trouve et ce qu'il manque ?
  • Les activités sont-elles alignées sur les objectifs d'apprentissage, ont-elles un sens, invitent-elles à la réflexion, à l'application ou à la création... ou simplement à la mémorisation?‍
  • L'apprenant a-t-il le sentiment que le contenu est utile et applicable pour lui ? Cela peut être détecté par des commentaires spontanés, des enquêtes rapides ou même une analyse comportementale sur la plateforme (avec l'IA ou des outils d'expérience utilisateur).

Après le projet pilote, ne vous contentez pas de recueillir des informations en retour. Répétez. Ajustez. Améliorer.

  • Modifier les instructions qui prêtent à confusion.
  • Réorganiser les modules en cas de sauts brusques.
  • Simplifiez le contenu qui semble trop dense.
  • Ajoutez des exemples si certains concepts ne sont pas compris.

Et oui, l'intelligence artificielle peut également vous aider à ce stade :

  • Identifier les schémas de négligence.
  • Mesure des temps de séjour par section.
  • Détecter les questions fréquemment posées ou les points où l'apprenant est bloqué.

L'important : le meilleur cours n'est pas celui qui démarre parfaitement. C'est celui qui s'améliore en permanence. Créer avec un état d'esprit d'itération continue est ce qui sépare un cours fonctionnel d'un cours mémorable.

Étape 6 : Publication et suivi

La publication d'un cours n'est pas la fin du processus. C'est le début d'un véritable cycle d'apprentissage et d'amélioration continue.

De nombreuses universités investissent du temps, de l'énergie et du talent dans la création de cours virtuels d'excellente qualité... mais échouent dans un domaine clé : la mise en œuvre après le lancement.

Et comme le dit l'expression : "Si vous le construisez, cela ne veut pas dire qu'ils viendront". Si personne ne sait que le cours existe, si sa valeur n'est pas bien expliquée ou si les progrès ne sont pas suivis... c'est comme s'il n'avait jamais été créé.

Une fois publié, le cours a besoin de trois choses :

1. une promotion claire et efficace

Il ne suffit pas de le télécharger sur la plateforme. Il doit être communiqué avec intention:

  • A qui s'adresse ce cours ?
  • Qu'est-ce que la personne qui suit le cours apprendra ?
  • Combien de temps vous faudra-t-il pour le réaliser ?
  • Quels sont les avantages concrets (professionnels, académiques ou personnels) ?

Utilisez tous les canaux disponibles : courriel institutionnel, réseaux sociaux, intranet, communauté d'étudiants, de professeurs et d'anciens élèves.
Et si vous avez des ambassadeurs internes, activez-les. Le bouche-à-oreille est toujours aussi puissant.

2. le suivi des progrès

Le suivi n'est pas seulement administratif, il est aussi pédagogique.
Vous devez savoir :

  • Où les élèves abandonnent-ils leurs études ?
  • Quel est le contenu qui n'est pas complété ?
  • Quelles sont les activités qui suscitent le plus de participation ?
  • Qui a besoin d'aide et quand ?

Utilisez des rapports automatisés, des tableaux de bord d'IA ou des analyses de plateforme pour obtenir une image claire et exploitable du comportement des élèves.

💡 Conseil : n'attendez pas la fin du cours pour intervenir. Les ajustements doivent se faire en temps réel.

Amélioration continue

La publication n'est que la première version. Un cours de qualité est constamment ajusté en fonction :

  • Les données collectées
  • Le retour d'information des étudiants
  • Changements dans le contexte ou les développements dans le secteur

Révision trimestrielle ou semestrielle : ajout de nouveaux cas, mise à jour du contenu, amélioration des ressources, modernisation de la présentation visuelle.

Conseil aux dirigeants : installez une culture de l'amélioration continue dans les équipes universitaires. Publier n'est pas "clore un projet", mais ouvrir un cycle d'évolution permanente.

Les erreurs de virtualisation du contenu qui freinent tout dès le départ

Virtualiser n'est pas reproduire. Il s'agit d'une refonte intentionnelle. Ces erreurs, si elles ne sont pas corrigées dès le départ, affectent la qualité, l'engagement et l'impact réel de l'apprentissage en ligne.

Il y a des décisions qui semblent minimes, mais qui ont un effet d'entraînement sur l'ensemble de l'expérience éducative.

Voici les erreurs les plus courantes commises lors de la virtualisation des cours... et celles qui causent le plus de dégâts :

  • Copier et coller des cours en présentiel au format numérique : télécharger les mêmes présentations PowerPoint et les mêmes guides imprimés ne fonctionne pas. L'environnement virtuel nécessite des structures plus dynamiques, un langage adapté et des formats actifs.
  • Enregistrer des cours sans fin et sans montage : les vidéos de 40 minutes lisant des diapositives n'enseignent pas. Elles ne font qu'ennuyer. La vidéo doit être au service de l'apprentissage, et non un transfert littéral de la salle de classe.
  • Utilisation de l'IA sans critères pédagogiques : l'IA peut générer du contenu en quelques secondes... mais sans une conception pédagogique solide, elle ne fournit que des textes génériques, sans profondeur ni lien réel avec l'apprenant.
  • Remplissage de matériel sans chemin clair : avoir "beaucoup de contenu" n'est pas synonyme d'une bonne expérience. Si l'apprenant ne sait pas par où commencer, ce qui est obligatoire et ce qui est complémentaire, il est perdu.
  • Ignorer l'expérience de l'élève : concevoir uniquement à partir du rôle de l'enseignant est une erreur. Il est nécessaire de réfléchir à la manière dont l'élève navigue, à ce qu'il ressent, à ce dont il a besoin et à ce qui le motive à continuer.

Notre meilleur conseil : avant de virtualiser un cours, vérifiez que l'approche est alignée sur l'apprenant, la pédagogie et une expérience numérique de qualité.
Il ne s'agit pas de relocalisation, mais de transformation.

Qu'est-ce qui fait qu'un cours universitaire d'apprentissage en ligne fonctionne ?

  • Planification stratégique
  • Conception pédagogique réelle
  • Un contenu qui fait le lien
  • Ressources visuelles et brèves
  • Évaluations pratiques
  • Amélioration continue fondée sur les données
  • Utilisation intelligente de l'IA (avec intention, sans effet de mode)

Si vous êtes responsable du contenu académique dans votre université, vous n'avez pas besoin d'opérer une transformation radicale du jour au lendemain.

Mais vous pouvez commencer par améliorer la façon dont les cours sont conçus aujourd'hui.‍

Une seule formation bien menée peut changer plus de choses qu'une nouvelle plateforme ou un système coûteux.

Chez Griky, nous savons comment faire.
C'est pourquoi nous avons créé l'usine à cours sur mesure, pour vous aider à concevoir et produire des cours e-learning avec rapidité, pédagogie et sans surcharger votre équipe.

¿Qué parte de este proceso necesita más atención en tu universidad?
Contactez nous. Nous concevons sur mesure.

Questions fréquemment posées par les responsables d'universités sur la création de cours virtuels

1) Combien de temps faut-il pour créer un cours électronique de qualité ?

Cela dépend de la portée, mais avec une structure claire, un soutien pédagogique et des outils d'intelligence artificielle, vous pouvez concevoir un cours fonctionnel en 3 à 6 semaines. L'important est d'avoir un processus agile et reproductible.

2) L'intelligence artificielle peut-elle remplacer l'équipe de conception pédagogique ?

L 'IA est un outil d'aide, qui ne remplace pas le jugement pédagogique. Elle permet d'accélérer des tâches telles que la rédaction, la recherche, la traduction et la génération d'idées, mais la conception reste humaine et stratégique.

3) Dois-je former tous mes enseignants avant de commencer ?

Pas tous en même temps. L'idéal est de commencer par les enseignants qui sont déjà ouverts et de former de petites équipes pilotes. Cela permet d'instaurer un climat de confiance, d'apprendre rapidement et de créer des ambassadeurs internes.

4) Que faire si je n'ai pas d'équipe de conception pédagogique en interne ?

Vous pouvez compter sur des partenaires stratégiques comme Griky. Notre Course Factory accompagne les universités tout au long du processus : de la conception à la publication, en intégrant l'IA, la pédagogie et l'agilité opérationnelle.

5) Comment mesurer l'efficacité d'un cours virtuel ?

Pas seulement avec les notes. Utilisez des indicateurs tels que

  • Taux d'achèvement
  • Participation aux activités
  • Temps passé sur la plateforme
  • Retour d'information qualitatif des étudiants
  • Analyse des abandons par section

6) Que dois-je faire si j'ai déjà des cours virtuels, mais qu'ils sont dépassés ?

Vous pouvez les mettre à jour par modules, en intégrant de nouvelles ressources, des évaluations plus actives et des formats plus courts. Il n'est pas nécessaire de tout refaire à partir de zéro. L'essentiel est d'itérer avec intention.

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